-
-
CouchantLe soleil couchant est souvent beau.
Seulement le crépuscule est trop près de lui !
Li Chang Yin
Conscience
La conscience est la lumière de l'intelligence
pour distinguer le bien du mal.
Confucius
La leçon du bambouIl était une fois un grand jardin, merveilleux, au milieu d'un royaume. Le Maître aimait à s'y promener quand la chaleur du jour devenait accablante. Il affectionnait tout particulièrement le bambou qui lui semblait l'arbre le plus beau de toutes les plantes de son jardin. Au fil des années, ce bambou grandissait, devenait vigoureux et toujours plus conscient de la faveur du Maître.
Un jour, celui-ci s'approcha de l'arbre et le bambou inclina son faîte respectueusement.
Le Maître lui dit :- Mon cher bambou, j'ai besoin de toi.
Il semblait que le grand jour fut enfin arrivé, le jour pour lequel le bambou avait été créé. Le bambou répondit donc d'une voix douce
- Maître, je suis prêt. Fais de moi ce que tu voudras.
- Bambou, ajouta le Maître d'une voix solennelle, pour me servir de toi il faut que je te coupe.
- Me couper moi que tu considères comme la plus belle parure de ton jardin, non ne fais pas cela !
- Mon cher bambou, répondit le Maître, si je ne te coupe pas, tu ne sers de rien.
Le jardin se fit calme; le vent retint son souffle, le bambou inclina sa tète doucement et puis lui murmura:
- Maître, puisque tu ne peux m'utiliser sans me couper. alors je suis prêt arrache-moi
- Mon cher bambou, il me faudra t'enlever toutes les branches et toutes les feuilles.
- Ah ! non, pas cela, détruis ma beauté, mais laisse-moi mes rameaux de feuilles.
- Si je ne te les enlève pas, je ne peux pas t'utiliser.
Le soleil se cacha, un papillon s'envola et le bambou, tremblant à l'idée de ce qui allait lui arriver, lit dans un souffle :
- Maître, enlève les rameaux et les feuilles.
- Bambou, dit encore le Maître, il faudra te faire autre chose : Je te couperai par le milieu et je t'enlèverai le cur. Si je ne le fais pas, tu ne sers de rien.
- Oui, Maître : arrache le cur et découpe.
Alors le Maître du jardin arracha le bambou, coupa ses rameaux et toutes ses feuilles, le tailla en deux sur toute sa longueur et lui enleva le cur.
Puis, il le transporta près d'une source d'eau fraîche et scintillante au milieu des champs desséchés. Il déposa le bambou soigneusement sur le sol; il posa l'une des extrémités du tronc sous la source tandis que l'autre atteignait le sillon d'arrosage dans le champ.
La source chanta sa joie, l'eau claire bondit à travers le corps déchiqueté du bambou jusque dans le canal et se mit aussitôt à abreuver les champs assoiffés. Puis on repiqua le riz et les jours s'écoulèrent. Les pousses grandirent et ce fut bientôt le temps de la moisson. C'est ainsi que le bambou, autrefois si majestueux, devint dans son humble état de débris, une grande bénédiction.
Quand il était encore grand et beau, il ne poussait que pour lui-même et se réjouissait de sa beauté. Mais dans son brisement, il était devenu un canal dont le Maître se servait pour faire fructifier son Royaume.
Oubli
Les mots servent à exprimer les idées :
quand l'idée est saisie, oubliez les mots.
Tchouang-Tseu
Lecture
"Ouvre un livre, c'est lui qui t'ouvrira."Tchouang-Tseu
Gouttes d'eau
Le coeur de la femme est aussi instable qu'une goutte d'eau sur une fleur de lotus.
Le bonheur est un rayon de soleil que la moindre ombre vient intercepter ;
l'adversité est quelquefois la pluie du printemps.
Oiseaus Noirs
On ne peut empêcher les oiseaux noirs de voler au-dessus de nos têtes,
mais on peut les empêcher d'y faire leur nid.
Le rêve du papillon"Tchouang-Tseu rêva qu'il était papillon, voletant, heureux de son sort,
Cette fameuse formulation, qui pose la question de la frontière entre
ne sachant pas qu'il était Tchouang-Tseu.,
Il se réveilla soudain et s'aperçut qu'il était Tchouang-Tseu.
Il ne savait plus s'il était Tchouang-Tseu qui venait de rêver qu'il était papillon ou
s'il était un papillon qui rêvait qu'il était Tchouang-Tseu."
le rêve et la réalité, entre le vrai et le faux,
constitue le fil conducteur des oeuvres de Tchouang-Tseu.
Méconnaissances
Le Maître dit :
Ne crains point de rester méconnu des hommes,
mais bien plutôt de les méconnaître toi-même.
votre commentaire -
Le coeur de l'homme
Le cur est un étang, quand rien ne l'agite, la vase reste au fond.
Siun Tseu
TénèbresCe qui est venu dans l'obscurité, s'en va par les ténèbres.
AvenirToutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.
Parure
Les trois dixièmes de la beauté féminine sont dus à la nature,
les sept dixièmes, à la parure.
RefletSi la tranquillité de l'eau permet de refléter toute chose,
que ne peut la tranquillité de l'esprit !..
Tchouang-Tseu
ChutesLa plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber,
mais de se relever à chaque chute.
Confucius
Sècheresse
Dans la sécheresse, on découvre les bonnes sources ;
Dans la détresse, les bons amis.
Vision
Ne soyez pas sentimentaux à l'agard du passé et
n'ayez pas une vision trop enthousiaste de l'avenir.
Scrutez, analysez, dégagez le réel et l'actuel.Mao Dun
Prises de conscience
Prendre conscience,c'est transformer le voile qui recouvre la lumière en miroir.
Lao Tseu
Charité
Donnne un poisson à un homme et tu le nourris pour un jour.
Apprends lui à pêcher et tu le nourris pour toujours.
Lao Tseu
votre commentaire -
Comme en rêve...
Comme en rêve, je revois l'étincelle mourante de nos feux de camp,
CHEF PLENTY.COUPS
les cendres froides et blanches. Ie ne vois plus
les volutes de fumée qui s'élevaient vers le ciel. Je n'entends plus
les chansons des femmes qui préparent le repas. Les antilopes sont parties.
Les enclos de bisons sont vides. Seul le cri du coyote est audible...
Nous sommes des oiseaux qui ne peuvent plus voler.
Au commencement...
Au début des temps<o:p> </o:p>Il n'y avait pas de différence<o:p> </o:p>entre les hommes et les animaux.<o:p>
</o:p>Toutes les créatures vivaient sur terre.<o:p>
</o:p>Un homme pouvait se transformer en animal<o:p> </o:p>s'il le désirait<o:p> </o:p>et un animal pouvait devenir humain.<o:p>
</o:p>Il n'y avait pas de différence.<o:p>
</o:p>Les créatures étaient parfois des animaux<o:p> </o:p>et parfois des animaux et parfois des hommes.
Tout le monde parlait une même langue.<o:p>
</o:p>En ce temps là, les mots étaient magie<o:p> </o:p>et l'esprit possédait des pouvoirs mystérieux.<o:p>
</o:p>Un mot prononcé au hasard pouvait avoir d'étranges conséquences.<o:p>
</o:p>Il devenait brusquement vivant<o:p> </o:p>et les désirs se réalisaient.<o:p> </o:p>Il suffisait de les exprimer.<o:p>
</o:p>On ne peut donner d'explication.<o:p> </o:p>
C'était comme ça. <o:p>
</o:p>Légende ESKIMO
Autrefois
Autrefois j'allais comme le vent,
maintenant je me rends, c'est tout.
Géronimo
Souffle...
<o:p> </o:p>...Tous les sons, toutes
les peurs, tous les amours.
<o:p> </o:p>Nous sommes tous créateurs.
Par notre souffle. Le souffle de la parole devient son pour le monde.
En écrivant, je me crée, sous une forme sans cesse renouvelée.
Je me re-crée.
Par mon souffle.
Conscient que je ne suis pas une voix unique, mais multiple.
Ma voix est toutes les couleurs, tous les sons,
toutes les peurs, tous les amours.
<o:p> </o:p>JOY HARJO, Creek
Tout ce qui est vivant...
<o:p style="color: rgb(102, 51, 51);"> </o:p>Tout ce qui est vivant.
Sur la berge escarpée d'un fleuve est une voix qui parle.
J'ai vu le maître de cette voix.
Il m'a salué, j'ai parlé avec lui,
il a répondu à toutes mes questions.
Tout ce qui est vivant
L'oiseau gris à gorge bleue chante sur la branche creuse
Il appelle ses esprits à danser, il entonne ses chants de chaman.
Et bec du pivert joue du tambour sur un arbre et l'arbre tressaille,
il crie comme un tambour lorsque la hache mord son écorce.
Toutes ces choses répondent à mon appel.
Tout ce qui est vivant.La lanterne se promène, les murs de cette maison ont des langues,
Chant d'un chaman de la tribu chuckchee de Sibérie
les peaux assoupies dans leurs sacs murmurent toute la nuit,
les bois de rennes sur les tombez se lèvent et encerclent les terres.
Alors les morts eux-mêmes se réveillent et viennent rendre visite aux vivants.
Apache...
" Je suis né dans les prairies,
là où les vents soufflent librement et où rien n'arrête la lumière du soleil.
Je suis né là où il n'y a pas de barrières...""J'ai été chauffé par le soleil, bercé par les vents et abrité par les arbres,
comme tous les bébés Indiens..."" Quand j'étais enfant ma mère m'a enseigné à me mettre à genoux et prier Dieu pour la force, la santé, la sagesse et la protection...."
" Il y a un Dieu qui nous regarde.
Nous sommes tous des enfants de Dieu. Le soleil, l'obscurité,
les vents écoutent ce que nous avons à dire..."" Je vivais paisiblement quand les gens ont commencé à parler mal de moi..."
" Autrefois j'allais comme le vent. Maintenant je me rends, c'est tout... "
" Nous sommes en train de disparaître de la surface de la terre,
mais je continue à croire qu'il doit y avoir une bonne raison pour que
Yoséné (Dieu) nous ait crées.
Il a donné vie à toute une variété d'espèces d'hommes.
Ainsi pour chaque espèce créée, Il désigna un pays particulier.
Lorsque Yoséné créa les Apaches, Il leur donna un pays qui se situe à l'ouest.
Pour nourriture Il leur remit des graines, des fruits et du gibier.
Afin de soigner les différentes maladies, Il fit croître des plantes médicinales.
Puis Il leur enseigna où trouver ces plantes et comment les préparer.
Il leur accorda un climat doux et tout ce dont ils avaient besoin pour
se vêtir et s'abriter...Cela eut lieu au tout début de la création :
car Yoséné créa simultanément le peuple Apache et son pays.
Et quand viendra le jour où les Apaches seront séparés de leur terre,
ils tomberont malades et mourront.
Combien de temps s'écoulera-t-il avant que l'on dise qu'il n'y a plus d'Apaches ? "Géronimo
L'indien
<o:p> </o:p><o:p> </o:p>Ne te moque pas de l'indien
qui descend des montagnes
laissant ses chèvres et ses douces brebis,
ses terres à l'abandon.
Ne te moque pas de l'indien si tu le vois muet
un peu fruste et tout assommé de soleil.
Ne te moque pas si à travers rues
tu le vois trottant comme un lama
une guanaco apeuré, un âne rétif
poncho et chapeau sous le bras.
Ne méprise pas l'indien si au plein du soleil
tu le trouves tout emmitouflé dans sa laine
et trempé de sueur.
Pense, ami, que celui-là descend de là-haut
où un vent de glace entaille les mains
et fait éclater les cals des pieds.
Ne ris pas de l'indien si tu le vois
mâchant son maïs cuit
ou cette viande dure qu'il a traîné jusqu'ici, sur cette place,
par quelque sentier glacial ou le long d'un fleuve.
Le voilà qui descend vendre ses cuirs, vendre sa laine
pour acheter son sucre, ramener sa farine.
Il aura même sur lui sa monnaie et son manger
pour ne rien devoir te demander.
Ne te paye pas de sa tête d'indien qui vit sur sa frontière
par là-bas, vers le col de Zenta,
car si tu vas par ses montagnes
il t'ouvrira les portes de sa cahute
te versera son alcool de maïs et te passera son poncho.
Près de ses gosses, tu mangeras ce qui lui reste
et rien en échange.
Ne te paye pas la tête de cet indien qui cherche le silence
et fait monter ses fèves entre les caillasses d'ardoises
là-bas, sur ces hauteurs où rien ne pousse.
Car c'est ainsi que survit l'indien sur sa propre terre
sa terre mère, sa Pachamama.
<o:p> </o:p><o:p> </o:p>Fortunato Ramos
Racines...
Nous sommes tous des fleurs dans le jardin du Grand Esprit.
Nous partageons les mêmes racines, nos racines nous ramènent à la Terre Mère.
Son jardin est beau car les couleurs des fleurs sont différentes et
elles représentent des traditions et des cultures différentes.
<o:p> </o:p>Grand-Père David Monongye - Hopi
Attrape rêve...
Il y a logtemps, lorsque le monde était jeune,
un vieux Sioux du Lakota, dirigeant Spirituel,
était sur une haute montagne et eut une vision.
Dans sa vision, Iktomi, le grand professeur de sagesse,
paru sous la forme d'une araignée.
Iktomi s'adressait à lui dans une langue sacrée que seulement
les dirigeants spirituels du Lakota pouvaient comprendre.
Pendant qu'il parlait, Iktomi l'araignée,
prenait un cerceau de saule avec des plumes,
de la chevelure d'un cheval et des perles et ainsi,
il commençait à tournoyer et à tisser une toile.
Il parlait au saule des cycles de la vie...Et de quelle manière ont commencé nos vies,
comme nourrisson puis vient l'enfance et l'âge adulte,
enfin, nous allons vers la vieillesse où nous devons être soignés
comme des nourrissons, complétant ainsi le cycle.
Mais Iktomi dit pendant qu'il continuait à fabriquer sa toile.
"Dans la vie, il y a beaucoup de forces en bien et en mal.
Si vous écoutez les forces du Bien,
elles vous dirigeront dans la bonne direction.
Mais si vous écoutez les forces négatives,
elles vous blesseront et vous dirigeront dans la direction fausse ".
Il continuait, "Il y a beaucoup de force de direction différentes
qui peuvent aider ou intrférer avec l'harmonie de la nature,
et aussi avec le Grand Esprit et ses enseignements merveilleux"
Il tissa sa toile de l'extérieur vers le centre. Quand Iktomi eut fini de parler,
il donna au Sioux son travail et dit..."Vois, la toile est un cercle parfait mais il y a un trou dans le centre du cercle. Employez la toile pour vous aider ainsi que votre peuple à atteindre vos buts
et à faire bon emploi des idées de votre peupli, rêves et visions.
Si vous croyez dans le Grand Esprit, la toile attrapera vos bonnes idées
et les mauvaises seront dirigées dans le trou du néant".
Musique
"De toutes les merveilles qui ont été données à l'homme par le Créateur, la musique est la plus belle. Elle est l'énergie qui nous permet de descendre dans notre profondeur et elle est en harmonie avec la construction du corps humain. Tous, nous devons prendre conscience de la puissance du son. On peut utiliser la musique pour guérir ou faire du bien."
votre commentaire -
Lorsque le jour paraît
Lorsque le jour paraît
Notre Père le Ciel est gris,
Et pourtant les oiseaux sont pleins de gaieté.
Les nuages répandent leurs larmes
Et le pays boit cette céleste rosée.
Les flaques d'eau remplacent la poussière,
Irrésistibles tentations pour les petits-pieds.
Tourner mon visage vers le ciel,
Sentir la douceur de la brume
Me laver de mes soucis
Et emplir mon cur de bonheur,
Élevant mon âme.
Comme pour la fin des récoltes,
Levant mes bras,
Je me tourne tour à tour vers les quatre vents
Pour les remercier
De cette douce pluie d'été.
Gérald FISHER
Lorsque le danger guête
<o:p> </o:p>Si les Indiens revêtent leur plus belle parure avant la bataille,
ce n'est pas parce qu'ils croient ainsi accroître leurs aptitudes guerrières.
En fait, ils se préparent à la mort,
au cas où celle-ci les attendrait à l'issue du conflit.
Chaque Indien souhaite être à son avantage pour rencontrer
le Grand Esprit.
Il revêtira donc sa plus belle parure quand le danger est imminent,
que ce soit avant une bataille ou en cas de maladie ou
de blessure en temps de paix.
<o:p> </o:p>JAMBE DE BOIS, Cheyenne
Chant
Choses qui s'échouent, je suis dedans.
Vieux roseaux morts échoués au bord du lac, je m'enroule dedans,
je vis dedans, un temps.
Je peux le faire, ça ne me fait pas peur.
Les coquilles échouées dans la rivière, pas d'escargot dedans.
Toutes nettoyées par l'eau bouillonnante, je vis dedans, un temps.
Quelque chose, toute chose, choses qui s'échouent, je vis dedans.
Alors maintenant je me promène avec des bruits d'eau dans les oreilles
Bruit de petit ruisseau. Bruit de rivière vive
Le bruit des vagues sur un lac. Je marche vers elles.
Oh! Que des choses s'échouent encore
Pour que je vive dedans!
Chant des indiens Crees
Toute chose...
Chaque chose sur cette terre a un but,
chaque maladie a son herbe pour la guérir et
chaque personne a une mission.
C'est la théorie indienne de l'existence.
Dignité
Je compare la dignité qui caractérise
les relations sociales des vieux Indiens
à une promenade à travers la forêt en hiver.
<o:p> </o:p>COCHISE Apache Chiricahua
Respect
<o:p style="color: rgb(51, 51, 153);"> </o:p>Honorer et respecter signifie penser à la terre, l'eau, les plantes
et les animaux qui vivent ici et qui ont le même droit que nous de s'y trouver.
Nous ne sommes pas les êtres suprêmes et omniscients qui vivent au sommet
du pinacle de l'évolution ; en fait, nous faisons partie du lien sacré de la vie,
au même titre que les arbres et les roches, les coyotes, les aigles,
les poissons et les crapauds qui, chacun à leur manière, remplissent leur mission.
Chacun d'entre eux accomplit la tâche qui lui est donnée dans le lien sacré
et nous aussi, nous avons la nôtre.
<o:p> </o:p>CHANT DU LOUPLes neuf préceptes du Code de la Juste Relation
- Ne dis que la vérité.
- Ne parle que des bonnes qualités des autres.
- Sois un confident et ne répands aucune rumeur.
- Ecarte le voile de la colère pour libérer la beauté inhérente à chacun.
- Ne gaspille pas ce qui t'est donné, et tu ne seras pas dans le besoin.
- Honore la lumière en chacun. Ne fais pas de comparaisons,considère chaque chose pour ce qu'elle est.
- Respecte toute vie; dégage ton coeur de l'ignorance.
- Ne tue pas et ne nourris pas de pensées coléreuses,qui tuent la paix comme une flèche.
- Agis maintenant; si tu vois ce qu'il faut faire, fais-le.
Extraits du livre SAGESSE AMERINDIENNE, Dhyani Ywahoo
Fraternité
La fraternité n'est pas réduite à la communauté des hommes,
à son environnement immédiat.
Elle s'étend jusqu'aux étoiles les plus lointaines.
FugacitéNe retiens pas les mauvaises pensées, les sentiments de colère,
de crainte ou de culpabilité. Regarde les passer comme les oiseaux du ciel,
sans laisser de traces.
Richesse
"Il y a chez vous des personnes richissimes et des personnes
qui souffrent de la faim. Chez nous, si quelqu'un a faim c'est parce que
nous sommes tous affamés. Chez vous un homme est d'autant plus important
qu'il peut étaler le plus de possessions, d'avoir,
chez nous un homme compte par ce qu'il est et ce qu'il donne.
Moi je suis trés important parce que malgré mes pouvoirs, je ne possède rien..."
votre commentaire - Ne dis que la vérité.